Cette distinction internationale récompense une carrière scientifique entre Paris, Cambridge, Princeton et Toulouse au cours de laquelle Véronique Garçon a contribué à mieux comprendre les flux des composés biogéochimiques dans l’océan global et régional.
Sa recherche s’appuie sur l’analyse d’observations, satellites et in situ, combinée au développement de modèles biogéochimiques et de capteurs biogéochimiques. Ces dernières années, Véronique Garçon a animé des travaux innovants sur les zones de minimum d’oxygène en particulier dans les régions de courant de bord Est à la fois en tant que responsable d’équipe au LEGOS mais aussi dans le cadre de responsabilités internationales.
Elle est actuellement Chair du programme SOLAS et membre international du Global Ocean Oxygen Network (GO2NE) de l’IOC.
Contact : Véronique Garçon
Sa recherche s’appuie sur l’analyse d’observations, satellites et in situ, combinée au développement de modèles biogéochimiques et de capteurs biogéochimiques. Ces dernières années, Véronique Garçon a animé des travaux innovants sur les zones de minimum d’oxygène en particulier dans les régions de courant de bord Est à la fois en tant que responsable d’équipe au LEGOS mais aussi dans le cadre de responsabilités internationales.
Elle est actuellement Chair du programme SOLAS et membre international du Global Ocean Oxygen Network (GO2NE) de l’IOC.
Contact : Véronique Garçon