Une équipe de chercheurs du Laboratoire d’études en géophysique et océanographie spatiales (LEGOS/OMP, Université Toulouse III - Paul Sabatier / CNRS / CNES / IRD), du Laboratoire d’océanographie et du climat : expérimentations et approches numériques (LOCEAN/IPSL, UPMC / CNRS / MNHN / IRD) et de l’Université de Californie (UCLA) ont mis en évidence et caractérisé l’effet du couplage entre les courants de surface et la tension de vent à partir de données satellitaires globales. Cette étude présente l’hétérogénéité spatiale et temporelle de ce couplage et démontre que son efficacité dépend principalement du vent à grande échelle. Les implications sur la représentation de la circulation moyenne et méso-échelle dans les modèles numériques et sur les processus biogéochimiques sont aussi discutées.
Une équipe de chercheurs du Laboratoire d’études en géophysique et océanographie spatiales (LEGOS/OMP, Université Toulouse III - Paul Sabatier / CNRS / CNES / IRD), du Laboratoire d’océanographie et du climat : expérimentations et approches numériques (LOCEAN/IPSL, UPMC / CNRS / MNHN / IRD) et de l’Université de Californie (UCLA) ont mis en évidence et caractérisé l’effet du couplage entre les courants de surface et la tension de vent à partir de données satellitaires globales. Cette étude présente l’hétérogénéité spatiale et temporelle de ce couplage et démontre que son efficacité dépend principalement du vent à grande échelle. Les implications sur la représentation de la circulation moyenne et méso-échelle dans les modèles numériques et sur les processus biogéochimiques sont aussi discutées.