Une équipe internationale de chercheurs a découvert un moyen de contrôler le transport des électrons dans des réseaux composés des plus petits conducteurs électriques connus : les nanotubes de carbone. En fixant chimiquement sur ces nanotubes des nanoparticules magnétiques de gadolinium, un élément des terres rares, les chercheurs ont modifié les propriétés magnétiques et électriques du matériau, comme sa résistance qui augmente à très basse température. Des caractéristiques qui pourraient trouver des applications dans le domaine de la nanoélectronique. Ces travaux réalisés en collaboration entre plusieurs universités sud-africaines (Johannesburg), le Max Planck Institute de Dresde et le CIRIMAT (CNRS/UT3 Paul Sabatier/Toulouse INP) ont été publiés dans Scientific Reports.
Une équipe internationale de chercheurs a découvert un moyen de contrôler le transport des électrons dans des réseaux composés des plus petits conducteurs électriques connus : les nanotubes de carbone. En fixant chimiquement sur ces nanotubes des nanoparticules magnétiques de gadolinium, un élément des terres rares, les chercheurs ont modifié les propriétés magnétiques et électriques du matériau, comme sa résistance qui augmente à très basse température. Des caractéristiques qui pourraient trouver des applications dans le domaine de la nanoélectronique. Ces travaux réalisés en collaboration entre plusieurs universités sud-africaines (Johannesburg), le Max Planck Institute de Dresde et le CIRIMAT (CNRS/UT3 Paul Sabatier/Toulouse INP) ont été publiés dans Scientific Reports.