Prendre en compte la variabilité naturelle de coloration des animaux pourrait permettre de mieux prédire leurs réponses face aux agents pathogènes. C’est ce que révèle une étude récente menée par des chercheurs du laboratoire Evolution et Diversité Biologique (EDB, CNRS / UT3 Paul Sabatier / IRD), en collaboration avec des chercheurs de la Station d’Ecologie Théorique et Expérimentale de Moulis (SETE, CNRS / UT3 Paul Sabatier), de l’Université de McGill et de Sorbonne Universités. Ces résultats sont parus dans la revue Proceedings of the Royal Society, le 30 mai 2018.
Prendre en compte la variabilité naturelle de coloration des animaux pourrait permettre de mieux prédire leurs réponses face aux agents pathogènes. C’est ce que révèle une étude récente menée par des chercheurs du laboratoire Evolution et Diversité Biologique (EDB, CNRS / UT3 Paul Sabatier / IRD), en collaboration avec des chercheurs de la Station d’Ecologie Théorique et Expérimentale de Moulis (SETE, CNRS / UT3 Paul Sabatier), de l’Université de McGill et de Sorbonne Universités. Ces résultats sont parus dans la revue Proceedings of the Royal Society, le 30 mai 2018.