Les superoscillations, un surprenant effet ondulatoire récemment découvert en physique, pourraient être l’un des mécanismes responsables de la dissipation des ondes dans la couronne solaire et donc du chauffage coronal. Des chercheur.e.s de l’Institut de recherche en astrophysique et planétologie de Toulouse (IRAP-OMP) ont montré dans un article publié dans la revue Astronomy & Astrophysics que ces superoscillations chauffent le plasma coronal bien au-delà des pertes pendant des courts périodes de temps dans des zones petites suivant les lignes de champ : c’est la description des boucles coronales à haute température qui semblent ainsi s’expliquer naturellement.
Les superoscillations, un surprenant effet ondulatoire récemment découvert en physique, pourraient être l’un des mécanismes responsables de la dissipation des ondes dans la couronne solaire et donc du chauffage coronal. Des chercheur.e.s de l’Institut de recherche en astrophysique et planétologie de Toulouse (IRAP-OMP) ont montré dans un article publié dans la revue Astronomy & Astrophysics que ces superoscillations chauffent le plasma coronal bien au-delà des pertes pendant des courts périodes de temps dans des zones petites suivant les lignes de champ : c’est la description des boucles coronales à haute température qui semblent ainsi s’expliquer naturellement.