La mission Planck de l’ESA dévoilait en 2013 une nouvelle image du cosmos : la capture sur tout le ciel du rayonnement micro-ondes généré au début de l’univers. Cette première lumière émise par l’univers offre une multitude d’informations sur son contenu, son taux d’expansion, et les grumeaux primordiaux, précurseurs des galaxies. Le consortium Planck publie la version intégrale et définitive de ces données et les articles associés sur le site web de l'ESA le 17 juillet 2018. Les articles sont par ailleurs soumis à la revue Astronomy & Astrophysics. Avec sa fiabilité accrue et ses données sur la polarisation du rayonnement fossile, la mission Planck corrobore le modèle cosmologique standard avec une précision inégalée sur ces paramètres, même s’il subsiste encore quelques anomalies. Pour ces travaux, le consortium Planck a mobilisé environ trois cents chercheurs, notamment du CNRS, du CNES, du CEA et de plusieurs universités en France.
La mission Planck de l’ESA dévoilait en 2013 une nouvelle image du cosmos : la capture sur tout le ciel du rayonnement micro-ondes généré au début de l’univers. Cette première lumière émise par l’univers offre une multitude d’informations sur son contenu, son taux d’expansion, et les grumeaux primordiaux, précurseurs des galaxies. Le consortium Planck publie la version intégrale et définitive de ces données et les articles associés sur le site web de l'ESA le 17 juillet 2018. Les articles sont par ailleurs soumis à la revue Astronomy & Astrophysics. Avec sa fiabilité accrue et ses données sur la polarisation du rayonnement fossile, la mission Planck corrobore le modèle cosmologique standard avec une précision inégalée sur ces paramètres, même s’il subsiste encore quelques anomalies. Pour ces travaux, le consortium Planck a mobilisé environ trois cents chercheurs, notamment du CNRS, du CNES, du CEA et de plusieurs universités en France.