Une équipe internationale de chercheurs de l’IMFT (CNRS / Toulouse INP / UT3 Paul Sabatier), de l’Université ETH à Zurich et de l’Université de Sheffield s’est attachée à quantifier l’avantage pour certains micro-organismes de nager sous forme de chaînes, un peu comme un peloton de cyclistes.
Une équipe internationale de chercheurs de l’IMFT (CNRS / Toulouse INP / UT3 Paul Sabatier), de l’Université ETH à Zurich et de l’Université de Sheffield s’est attachée à quantifier l’avantage pour certains micro-organismes de nager sous forme de chaînes, un peu comme un peloton de cyclistes.